Le CSE central sera donc convoqué le vendredi 4 février 2022 prochain pour débattre de ce sujet avec la décision du groupe, est-il expliqué dans un communiqué.
Les représentants du personnel du groupe jugent que les annonces gouvernementales visant à limiter l'impact sur les consommateurs de la flambée actuelle des prix de l'énergie, qui contraignent EDF à vendre davantage d'électricité nucléaire à bas prix à ses concurrents vont plonger le groupe "dans un gouffre financier" et constituent "une extorsion encadrée".