Cette décision intervient au lendemain de celle du tribunal administratif de Versailles, qui avait suspendu un arrêté similaire, une première sur le territoire national, en estimant que la mesure portait "une atteinte excessive, disproportionnée et non appropriée [...] à la liberté individuelle".
La décision concernant cet arrêté de la préfecture de police de la capitale, mis en place pour faire face à l'émergence du variant Omicron, sera publiée vendredi, a ajouté le tribunal administratif de Paris.
La préfecture de police a réservé sa réponse à la réception de la décision.
"Comme ce n'était ni nécessaire, ni strictement proportionné, le tribunal administratif a souhaité suspendre l'arrêté", a pour sa part commenté auprès de l'AFP Me Jean-Baptiste Soufron, qui a plaidé pour la suspension de cet arrêté.