Lors de son arrivée en Australie pour le grand chelem de l’Open d’Australie, le meilleur tennisman du monde, Novak Djokovic, s’est vu refoulé à la frontière.
Il a été enfermé pendant plusieurs jours dans un hôtel pour réfugiés pour des raisons de refus d’entrée liées aux règles sanitaires en vigueur dans le pays. La cour fédérale l’a libéré ce lundi 10 janvier.
Samuel Dubé, médecin et professeur universitaire canadien basé à Ottawa, commente l’aventure du champion serbe et ses aspects sanitaires:
"On pourrait en rire si ce n’était pas si sérieux. Ces mesures montrent que l’on ignore les traitements précoces, que l’on ignore l’immunité naturelle. Les gens qui ont eu la maladie et qui sont en bonne santé ont une immunité supérieure à une injection. Mais cela n’entre pas dans le récit que l’on veut mettre avant."