"Nous avons 300.000 emplois à pourvoir aujourd'hui, et nous nous attendons à ce que ce chiffre grimpe encore pour atteindre un million voire plus. Si nous ne comblons pas ce manque, nous aurons de réels problèmes de productivité", a-t-il prévenu lors d'une conférence de presse.
Si mettre l'accent sur la formation et rendre les emplois plus compatibles avec la vie de famille peuvent améliorer la situation, le recours à une plus grande immigration serait essentielle, "pour les ingénieurs, pour les artisans, pour les soignants. Nous devons organiser cela", a insisté le ministre de l'Economie.