En ce début d’année, la Syrie a de nouveau été le théâtre de multiples bombardements.
À Idlib, les djihadistes d’Hayat Tahrir al-Cham subissaient des tirs russes. Dans le nord du pays, les Forces démocratiques syriennes kurdes avaient affaire aux bombes turques. À l’est, les GI américains devaient se protéger des obus tirés par les milices pro-iraniennes. Et une nouvelle fois à l’ouest, Tsahal frappait des postes avancés du Hezbollah. Une cacophonie qui illustre la partition durable du pays. Mais la plupart de ces troubles ont lieu à cause d’un acteur particulier: les États-Unis et la présence de près de 900 de leurs GI.
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