Que faut-il pour qu’el-Assad contrôle à nouveau tout le territoire syrien?

La Syrie a beau être ouverte aux quatre vents et au moins huit forces armées distinctes ont beau s’y affronter, la seule présence militaire américaine demeure la première responsable des bombardements qui secouent cette semaine le pays.
Sputnik
En ce début d’année, la Syrie a de nouveau été le théâtre de multiples bombardements.
À Idlib, les djihadistes d’Hayat Tahrir al-Cham subissaient des tirs russes. Dans le nord du pays, les Forces démocratiques syriennes kurdes avaient affaire aux bombes turques. À l’est, les GI américains devaient se protéger des obus tirés par les milices pro-iraniennes. Et une nouvelle fois à l’ouest, Tsahal frappait des postes avancés du Hezbollah. Une cacophonie qui illustre la partition durable du pays. Mais la plupart de ces troubles ont lieu à cause d’un acteur particulier: les États-Unis et la présence de près de 900 de leurs GI.
Plus d’informations dans ce nouveau Lignes Rouges en bref.
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