Parmi l'un des condamnés à mort figure un homme de 65 ans reconnu coupable d'avoir poignardé et tué sept membres de sa famille en 2004, selon la même source.
Au Japon, seule démocratie industrialisée avec les Etats-Unis à prononcer toujours la peine capitale, les mises à mort sont effectuées par pendaison. Les prisonniers sont informés de leur exécution quelques heures seulement avant celle-ci, une pratique décriée par des groupes de défense des droits humains.
Des ONG, comme Amnesty International, réclament depuis des décennies la suppression de la peine capitale.
La précédente exécution de prisonnier menée au Japon remontait au 26 décembre 2019, selon Kyodo.