L'injection d'une dose de rappel de ce candidat vaccin, qui n'utilise pas la technologie ARNm à la différence des deux vaccins préconisés à l'heure actuelle pour le rappel, est bien tolérée et "a permis d’obtenir des réponses immunitaires fortes", quel que soit le vaccin reçu en primovaccination (AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna , Pfizer/BioNTech ), est-il précisé dans le communiqué commun des deux groupes.
L'essai de phase III, mené sur de larges échantillons, va donc se poursuivre et devrait permettre d'obtenir des données plus conséquentes "dans le courant du premier semestre de 2022", qui seront ensuite soumises aux autorités réglementaires.