Le prénom de l’agresseur d’Éric Zemmour fait rire l’humoriste Philippe Caverivière

"Il est fragile, faut pas le toucher". Dans "On est en direct", samedi dernier sur France 2, l’humoriste Philippe Caverivière a donné libre cours à son éloquence pour se moquer de l’agression contre Éric Zemmour lors du meeting de Villepinte.
Sputnik
L’agression contre Éric Zemmour lors de son meeting à Villepinte le 5 décembre a été la cible des railleries de l’humoriste Philippe Caverivière dans "On est en direct", samedi 11 décembre sur France 2.
À Villepinte, Éric Zemmour a été blessé au poignet après qu’un individu l’a empoigné juste avant qu’il ne monte sur scène. Le désormais candidat à la présidentielle s’est vu prescrire par un médecin 9 jours d’ITT.
"Résultat: poignet cassé pour Éric. C’est pas Teddy Riner. Il est fragile, il est en chips un peu, faut pas le toucher", a rigolé Philippe Caverivière.
"C’est l’agression la plus nulle de l’Histoire", a renchéri Fabrice Éboué, également présent sur le plateau.
Léa Salamé a provoqué les éclats de rire lorsqu’elle a rappelé, en pouffant, le nom de l’agresseur: Valentin Abdelmajid.

Un nom "rigolo"

"Rien que le nom est rigolo", a commenté Philippe Caverivière, car Valentin "c’est bien", par contre Abdelmajid "c’est pas ce qu’il y a de plus passe-partout pour aller au meeting de Zemmour"
"C’est le côté Valentin qui voulait lui faire un câlin, et le côté Abdelmajid qui lui a niqué le poignet."
Laurent Ruquier n’a pas tardé à apporter son brin d’humour en faisant réagir l’humoriste:
"Ce n’est pas bien de dire ça parce que pendant le meeting, moi j’ai regardé le meeting, Zemmour a dit qu’il n’était pas raciste, fasciste et misogyne".
"C’est vrai, énorme choc pour les militants les plus durs, qui se sont dit "merde il est pas raciste, qu’est-ce qu’on fout là?" Les mecs étaient déçus", a conclu l’humoriste.
Le 8 décembre, l’homme suspecté d’avoir blessé Éric Zemmour a été mis en examen pour "violences volontaires avec ITT supérieure à huit jours et placé sous contrôle judiciaire", a appris l’AFP auprès du parquet de Bobigny.
Il lui est interdit de quitter le territoire, de détenir ou porter une arme et d’entrer en contact avec la victime.
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