En début de semaine, le Canada a rejoint l'Australie, la Grande-Bretagne et les États-Unis en déclarant qu'il n'enverrait pas de représentation diplomatique aux Jeux olympiques, invoquant des préoccupations de longue date concernant la situation des droits humains en Chine.
La Chine a qualifié les boycotts de "manoeuvres politiques" et de campagne calomnieuse.
Selon le journal, le Japon devrait prendre une décision officielle d'ici la fin du mois. Les seuls représentants officiels attendus pour l'instant sont ceux liés aux Jeux olympiques, dont Seiko Hashimoto, l'ancienne présidente du comité d'organisation des Jeux olympiques de Tokyo 2020, dit le quotidien.
Vendredi, le porte-parole du Japon a déclaré que rien n'avait été décidé quant à l'envoi éventuel de représentants officiels à l'événement.