L'équipe de l'université préfectorale de Kyoto, dirigée par son président, Yasuhiro Tsukamoto, 52 ans, espère que ces masques offriront aux utilisateurs un moyen facile de vérifier s'ils ont contracté le virus, rapporte mercredi l'agence Kyodo.
Les tests se poursuivent pour mettre les masques en pratique, et l'équipe espère obtenir l'autorisation du gouvernement pour les commercialiser l'année prochaine.
En février dernier, l'équipe a injecté une forme inactive et non menaçante du coronavirus à des autruches femelles, connues pour leur capacité de produire différents types d'anticorps, ou protéines qui neutralisent les entités étrangères dans le corps.
L'équipe scientifique a pour prochain objectif d'étendre l'expérience à 150 participants.