Ce variant, dont la France a recensé 25 cas sur son territoire, dont 21 "importés", ne semble en revanche pas plus dangereux et ne justifie pas à ce stade de changement dans la stratégie vaccinale, a ajouté le ministre français de la Santé.
Il a en outre observé que la hausse des contaminations avait commencé à ralentir, tout en restant élevée, y voyant "peut-être un premier effet de freinage" et du "ressaisissement" de chacun en matière de respect des gestes barrières.
En associant les mesures annoncées ce lundi à l'effort de vaccination - avec un objectif de 15 millions de doses de rappel administrées d'ici la fin de l'année - et à l'appel à la responsabilité individuelle, "on souhaite pousser notre avantage jusqu'au bout" pour limiter la nouvelle vague épidémique et éviter toute mesure plus drastique, a déclaré Olivier Véran.
En associant les mesures annoncées ce lundi à l'effort de vaccination - avec un objectif de 15 millions de doses de rappel administrées d'ici la fin de l'année - et à l'appel à la responsabilité individuelle, "on souhaite pousser notre avantage jusqu'au bout" pour limiter la nouvelle vague épidémique et éviter toute mesure plus drastique, a déclaré Olivier Véran.
Recourir davantage au télétravail
Tout en assurant que "l'heure n'est donc pas à des mesures de jauges, de couvre-feu ou de confinement", Jean Castex a ainsi appelé les Français à recourir davantage au télétravail et à "lever le pied" sur les fêtes privées et professionnelles jusqu'à la fin de l'année.
Si la reprise épidémique actuelle est liée au variant Delta, la France a désormais recensé 25 cas de contamination par le variant Omicron, repéré initialement en Afrique australe, dont 21 cas importés et quatre dus à une transmission sur le sol français.
Selon de premières données, ce variant Omicron semble plus contagieux voire fortement plus contagieux que le Delta, mais pas plus dangereux, a fait valoir Olivier Véran, selon lequel il est donc inutile de modifier à ce stade la stratégie vaccinale.