"J’ai retrouvé des tags sur ma porte de bureau: "RIP", "à mort facho", "crevure". Aujourd’hui je ne me sens pas en sécurité", explique-t-il dans une interview au Figaro étudiant, sans préciser s’il a déposé plainte.
Fraude des étudiants
"Comment expliquer que des étudiants, qui ne connaissent pas vraiment une matière (nous n’avons que 27,5 heures de cours par semestre) et qui doivent bachoter sur de nombreuses autres matières dans un temps très court, peuvent être en mesure de me citer des décisions de justice en donnant le numéro de la chambre, la date précise, le numéro de l’affaire et le nom des parties? Et même, de citer des décisions de justice que je n’ai pas citées en cours? Ce n’est pas subtil et c’est pour cela que je dis que parmi les étudiants, il y a bien des "quasi débiles" qui ne sont même pas capables de masquer convenablement leur fraude", s’étonne le professeur.