L'entrée en lice de ce riche homme d'affaires, qui s'était engagé à la neutralité dans le processus électoral, ajoute à la confusion.
La tenue même de la présidentielle, puis de législatives, dont les modalités restent contestées par une partie des multiples factions libyennes, est encore incertaine, en dépit du soutien de la communauté internationale, réaffirmé le 12 novembre lors d'une conférence à Paris.