Tout en admettant qu'"il y a encore énormément à faire dans les années qui à venir", M.Johnson a estimé que "l'accord de Glasgow est un grand pas en avant, et ce qui est important est que nous avons le premier accord international jamais conclu pour réduire l'utilisation du charbon et un plan pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré".
"J'espère que dans le futur on considérera la COP26 à Glasgow comme le début de la fin du changement climatique, et je vais continuer à travailler sans relâche vers ce but", a-t-il insisté.
Les 197 pays participants à la COP26 ont adopté samedi, à la suite de difficiles négociations, un accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète, sans pour autant répondre aux requêtes de financement des pays en développement.