Ne pas imposer de mesures coercitives
"Il faut surtout qu’un effort de pédagogie soit fait afin de mieux expliquer en quoi cette dose est utile pour les populations. En quoi cela va permettre de mieux les protéger contre cette maladie qui a des effets assez sévères même à moyen/long terme sur une partie des personnes qui ont été hospitalisées."
"La conséquence est que l’on a des populations qui risquent davantage l’infection mais que le risque de faire des maladies sévères est plus limité. En outre, elles ont encore des cellules qui ont la mémoire de la vaccination, celles-ci vont être activées et reproduire des anticorps assez rapidement", détaille le chercheur au CNRS.
Les experts divisés sur la question
"La question qui se pose néanmoins est la suivante: quand est-ce que ces formules ‘boost’ seront disponibles, de manière à optimiser la vaccination? Pour l’instant on n’a pas de réponse claire, c’est une interrogation qui a évidemment de l’importance au moment ou l’épidémie repart dans plusieurs pays européen", conclut notre interlocuteur.