Prévu les 30 et 31 octobre à Rome, à quelques heures de l'ouverture à Glasgow de la 26e conférence de l'Onu sur le climat (COP26), ce sommet fait figure de répétition générale, mais les désaccords restent nombreux.
Pour l'heure, les pays qui polluent le plus, Chine et Inde notamment, ne semblent pas disposés à la moindre avancée et aucun progrès notable n'est apparu depuis la réunion organisée en juillet à Naples, laquelle n'avait déjà pas débouché sur la moindre entente.
"Actuellement, les pays ne bougent pas, ils se contentent de faire en sorte que leurs positions soient affirmées haut et fort", a déclaré l'une des sources de Reuters.
Selon cette dernière, ces postures n'ont à ce stade rien d'inhabituel et il serait d'ailleurs vain de s'attendre à la moindre concession avant que se réunissent les "sherpas" du G20 jeudi et vendredi prochains en amont du sommet qui rassemblera les dirigeants.
Selon la communauté scientifique, le seuil d'un degré et demi est primordial pour enrayer la multiplication des catastrophes imputées au climat.