"Nous nous mettons en situation de prendre des sanctions dès lors que les accords ne seraient pas respectés", a dit Gabriel Attal à l'issue du conseil des ministres, évoquant de possibles sanctions susceptibles d'être appliquées "dans le courant du mois de novembre" dans des domaines tels que "le tarif de l'énergie, l'accès aux ports ou les questions douanières".
Selon le porte-parole du gouvernement, cette date butoir a été fixée par les Britanniques pour la transmission des licences accordées aux pêcheurs français.
"Donc c'est au 30 octobre que nous verrons si jusqu'au bout ils n'ont pas respecté l'accord qui a été signé" mais le gouvernement sera à ce moment-là prêt à engager d'éventuelles mesures de représailles.