"Je suis choqué, mais malheureusement habitué. Je rappelle que dans le week-end, à Vendôme, dans le Loir-et-Cher, il y a eu le même genre de tags, avec intimidations et menaces. On s'en prend aussi à la famille", a-t-il expliqué sur Europe 1. "C'est tellement récurrent. On le dénonce tellement. C'est la haine anti-flics qui se répand de plus en plus. On n'arrive pas à s'habituer à ce genre de choses."
"C'est la récurrence qui est inquiétante, puisque c'est devenu aujourd'hui la mode et tous les quartiers affichent le nom de mes collègues sur leur mur."
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"Le décrochage est particulièrement net chez les jeunes", analysent auprès du journal Éléonore Quarré et Théo Ponchel, respectivement directrice et chargé d’études au département opinion politique d’OpinionWay.