Faisant preuve d'une «certaine hostilité», les manifestants ont eu «des comportements ou des gestes qui peuvent s'apparenter à des menaces de mort», selon la même source qui a précisé qu'il n'y avait eu ni dégradation, ni violence, ni cri.
Ils ont pris la fuite «précipitamment» à l'arrivée d'une patrouille de gendarmes, a indiqué la gendarmerie.
Richard Ferrand était en déplacement à Quimper au moment des faits, selon son entourage. Contacté par l'AFP, il n'a pas donné suite dans l'immédiat.
Le député du Finistère a annoncé à la radio France Bleu Breizh Izel le dépôt d'une plainte.
«Il est inadmissible que des manoeuvres violentes d'intimidation soient menées à l'égard d'un parlementaire quel qu'il soit», a-t-il déclaré.