L'exécutif européen a précisé avoir été informé par l'Allemagne que Berlin considérait désormais le Portugal comme une zone de circulation de variants du coronavirus SARS-CoV-2 et comptait activer le dispositif d'urgence afin de restreindre la libre circulation entre les deux pays pour prévenir la propagation de nouvelles souches virales, souvent plus transmissibles.
Mais la Commission a estimé que les restrictions sévères imposées pour les voyageurs en provenance ou à destination du Portugal annoncées par l'Allemagne "ne semblaient pas complètement harmonisées" avec les recommandations fixées par les Vingt-Sept pour faciliter les déplacements estivaux et permettre à certains pays de connaître une saison touristique moins sinistrée que celle de l'an dernier.