Après que les services de l’État ont informé le conseil municipal de Belloy-en-France (Val-d’Oise) de leur projet de construire sur la commune une maison d’arrêt de 700 places, des habitants se sont organisés au sein du collectif «Belloy sans prison» afin d’obtenir le retrait du projet.
Sur sa page Facebook, le collectif dénonce le sacrifice de 18 hectares de terres agricoles et l’écornement de l’un des derniers corridors écologiques de la région.
Le collectif dit s’opposer à la bétonisation des terres agricoles et à la destruction du cadre de vie.