Influenceurs et arnaques, le dropshipping dans le collimateur de la France - vidéo

Le dropshipping, un système de livraison directe en ligne tout à fait légal, a permis la recrudescence d’arnaques en tout genre. Propulsé par les influenceurs, le business est plus que lucratif mais au vu des signalements pour fraude, l’État a décidé de se saisir du problème, depuis longtemps dénoncé par des consommateurs désabusés.
Sputnik

«Coucou mes amours… vous êtes nombreuses à me demander comment mes sourcils sont aussi parfaits. Eh bien grâce à ce produit, vous pouvez avoir les mêmes, sans passer par un institut…»

Magali Berdah: l’Élysée a-t-il fait de l’agent des influenceurs sa nouvelle éminence grise?
Ces produits miracles, promus par les nouveaux influenceurs fraîchement émoulus de la télé-réalité, tournent en boucle sur les réseaux sociaux. Dotés d’une grande communauté et en échange d’une contrepartie financière, les influenceurs font la publicité d’articles dont ils assurent la qualité à leurs centaines de milliers d’abonnés parfois très jeunes. Un public qui n’a pas pour réflexe d’aller vérifier les mentions légales de ces sites aux méthodes douteuses: publicités mensongères, produits frauduleux et arnaques en tout genre…

Face à la multiplication de signalements et à la fraude à la TVA –établie à 7 milliards d’euros tout de même– au sein de l’Union européenne, Bercy a finalement décidé d’agir.

 

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