Retrouvez les images des manifestations anti-restrictions dans le nord du Liban dans ce diaporama de Sputnik.
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De violents affrontements entre des manifestants et la police se sont produits mercredi à Tripoli, à 90 kilomètres au nord de Beyrouth.
© AFP 2024 Fathi Al-Masri
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Des manifestants ont attaqué la police avec des grenades réelles.
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Pour disperser les manifestants, les autorités ont dû faire appel à l’armée et utiliser des véhicules blindés.
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Voiture incendiée dans une rue de Tripoli.
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Les manifestants réclament la levée du couvre-feu imposé par les autorités pour lutter contre la propagation du coronavirus, ainsi que l’amélioration de leurs conditions de vie.
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Selon la Croix-Rouge libanaise, le nombre de victimes s’élève à 226, dont plus de 20 policiers. La plupart des victimes ont reçu une assistance médicale sur place, 35 ont été hospitalisées.
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L’armée libanaise a pris sous son contrôle les principales zones du centre de Tripoli. Les rues sont patrouillées par des véhicules blindés.
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Lundi et mardi, lors de la dispersion des manifestations à Tripoli, ont été blessés 75 manifestants et 57 agents des forces de l’ordre, dont neuf ont été hospitalisés.
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Le commandement de l’armée libanaise a appelé les citoyens à respecter le couvre-feu imposé par les autorités et à ne pas participer aux manifestations, qui s’accompagnent de pillages et d’actes de vandalisme.
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Le 21 janvier, le Conseil suprême de défense a prolongé l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 8 février. Le confinement qui s’accompagne d’un couvre-feu a réduit l’activité économique au minimum et a conduit à la ruine des petites et moyennes entreprises. En conséquence, la situation à Tripoli, où le taux de chômage a atteint 60%, est à son paroxysme. Les manifestants ont exigé une aide financière de l’État et la levée du couvre-feu.
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