«Ta b*te est à moi maintenant», annonce à l’une de ses victimes un hacker ayant piraté sa cage connectée, un jouet sexuel qui empêche le sexe de se raidir. Pour reprendre le contrôle, les victimes devaient lui payer une rançon en bitcoin, relate le magazine Vice.
Le chantage
Des experts en cybersécurité ont découvert l’année dernière qu’un fabricant chinois de jouets sexuels, contrôlés par ordinateur et gérés par des applications et Bluetooth, n’avait pas sécurisé son interface logicielle. Selon une autre victime citée par le magazine, le hacker a réclamé une rançon de 0,02 bitcoin (près de 567 euros) pour déverrouiller la ceinture. Heureusement, le propriétaire ne la portait pas à ce moment-là.
Les cas de piratage ont pour preuve plusieurs captures d’écran de conversations entre pirates et victimes, qui ont été contactées par Vice.