Le gagnant du plus gros gain jamais remporté en France révèle ce qu’il va faire de ses 200 millions d’euros

Ayant décroché le 11 décembre le jackpot de 200 millions d’euros lors du tirage de l'Euromillions, ce gagnant qui réside dans le sud de la France veut créer une fondation pour faire des dons aux établissements hospitaliers frappés par la crise du Covid-19, indique Le Parisien.
Sputnik

Un chanceux qui a gagné le 11 décembre un jackpot de 200 millions d’euros lors du tirage de l'Euromillions souhaite partager ce gain, le plus gros jamais remporté dans l'Hexagone, pour apporter de l’aide aux hôpitaux, rapporte Le Parisien.

Ainsi, son but est de créer une fondation, d'y déposer «plusieurs dizaines de millions» et de faire des dons aux établissements hospitaliers frappés par la crise du Covid-19.

«Si j'arrive à faire vivre et grandir ma fondation, là j'aurais tout gagné», a-t-il confié au quotidien en fin de semaine dernière, lors de la remise de son gain.

Interrogée par Le Parisien, la PDG de la Française des jeux (FDJ) dit avoir été «particulièrement émue de savoir que ce grand gagnant souhaite partager en s'investissant dans des projets caritatifs» lors de la rencontre au siège de l’entreprise à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

Ce veinard qui a préféré rester anonyme est un retraité, ancien cadre «particulièrement sensible à la santé» vivant dans le sud de la France, mais «pas en Gironde» malgré de récentes rumeurs. Il a choisi sa combinaison «en mélangeant des numéros fétiches, qui correspondent à des événements de sa vie, et des numéros aléatoires».

D’autres projets

C’est au lendemain du tirage qu’il a appris sa victoire avec les médias avant de contacter le service Relations gagnants pour s’en assurer entièrement. Outre sa fondation, il envisage d’acheter une nouvelle voiture pour sa fille, remettre en état sa maison «qu'il ne compte pas quitter» et «aider des proches qui en ont besoin».

«Voir les gens heureux autour de moi, c'est la plus belle des récompenses. Quand l'argent tombe du ciel, il faut en faire quelque chose et aider ceux qui n'ont pas autant de chance. Sinon, ça n'a pas de sens», cite Le Parisien.
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