Incendies, vitrines brisées: manifestation contre la loi Sécurité globale à Paris

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Retrouvez les photos des débordements à Paris et leurs conséquences dans ce diaporama réalisé par Sputnik.

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Des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues de la capitale pour exprimer leur mécontentement face à l’article 24 du projet de loi Sécurité globale, lequel encadre la diffusion d'images de forces de l'ordre.
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Des individus vêtus de noir ont insulté les agents de police et leur ont jeté dessus des bouteilles, des pétards et des pierres. Ils ont également mis le feu à des poubelles et renversé des voitures.
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Les émeutes ont commencé sur la place de la Bastille. Des voyous ont complètement détruit un arrêt de transport, ont brisé les vitres d'un restaurant et mis le feu à un kiosque.
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Lors des débordements, 98 policiers et gendarmes ont été blessés, comme l’a indiqué Gérald Darmanin.
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Les conséquences des émeutes à Paris.
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La police a utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau contre les manifestants. Plus de 80 d’entre eux ont été arrêtés.
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Une voiture en feu lors des émeutes à Paris.
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Les manifestations qui ont eu lieu dans tout le pays en réunissant plus de 130.000 personnes ont été marquées par l'affaire Michel Zecler, le producteur de musique noir tabassé par des policiers.
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Emmanuel Macron a qualifié les images de son interpellation de «honte». Quatre policiers ont été mis en examen en lien avec l'interpellation violente.
Sur la photo: des policiers lors de la manifestation à Paris.
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Le 24 novembre, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture la proposition de la loi Sécurité globale, prévoyant une des sanctions allant jusqu'à un an de prison et une amende de 45.000 euros pour la diffusion d'images d'identification des membres des forces de l’ordre dans l'intention de nuire à leur intégrité «physique ou psychique».
Sur la photo: des participants à la manifestation à Paris.
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Des représentants des syndicats de journalistes et des défenseurs des droits de l'Homme se sont opposés à l'adoption du document. Ils craignent qu'après son entrée en vigueur les reporters et les simples citoyens ne puissent plus filmer les actions des forces de l'ordre lors de rassemblements et de manifestations. Les autorités ont assuré que le projet de loi ne l'interdirait pas aux journalistes.
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Des policiers lors des émeutes à Paris.
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