En théorie, la moindre coopération entre les rivaux séculaires chiites et sunnites est difficilement envisageable. Comment donc expliquer que, d’après le New York Times, le commandant en second d’Al-Qaïda*, Abdullah Ahmed Abdullah, ait pu être ciblé par la CIA et les services israéliens en Iran? Décryptage de Fadi Assaf, ancien conseiller du Président du Liban, au micro de Rachel Marsden.
* Organisation terroriste interdite en Russie