Retrouvez les photos des manifestations dans la capitale arménienne dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
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Dans la nuit du 9 au 10 novembre, après l’annonce de la signature du cessez-le-feu dans le Haut-Karabakh, des manifestations ont éclaté dans la capitale arménienne.
Sur la photo: Manifestants devant le Parlement arménien à Erevan.
Sur la photo: Manifestants devant le Parlement arménien à Erevan.
© Sputnik . Iliya Pitalev
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Les contestataires considèrent que l’accord de cessez-le-feu dans le Haut-Karabakh constitue une défaite pour l’Arménie.
© Sputnik . Karen Avetisyan
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Manvel Yeghiazaryan, commandant de la brigade des volontaires «Arabo», s’est adressé aux membres de l’alliance «Mon pas» en les appelant à venir à l’Assemblée nationale et à lancer le processus de «dératification» de l’accord, faute de quoi il a menacé de les retrouver pour engager leur responsabilité.
© Sputnik . Aram Nersesyan
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Les contestataires, qui exigent l'annulation de l'accord, ont fait irruption dans le Parlement avec l’intention de casser. Le président de l'Assemblée nationale Ararat Mirzoyan a été frappé. Par ailleurs, les manifestants ont envahi et pillé la résidence du Premier ministre.
© Sputnik . Asatur Yesayants
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Depuis le Parlement qu'ils ont envahi, les contestataires exigent de former un nouveau gouvernement qui annulera les accords sur le Haut-Karabakh.
Sur la photo: Manifestants dans le Parlement arménien à Erevan.
Sur la photo: Manifestants dans le Parlement arménien à Erevan.
© Sputnik . Asatur Yesayants
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Des violences ont eu lieu non seulement à Erevan, mais aussi dans d'autres villes arméniennes.
Sur la photo: Manifestants dans le Parlement arménien à Erevan.
Sur la photo: Manifestants dans le Parlement arménien à Erevan.
© Sputnik . Iliya Pitalev
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Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian et les Présidents azerbaïdjanais et russe Ilkham Aliev et Vladimir Poutine ont signé l'accord du cessez-le-feu dans le Haut-Karabakh.
Sur la photo: Contestaires dans une des salles du Parlement arménien.
Sur la photo: Contestaires dans une des salles du Parlement arménien.
© Sputnik . Aram Nersesyan
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Selon les accords, avant le 20 novembre prochain, le district d'Agdam et les territoires occupés par l'Arménie dans le district de Qazax seront restitués à l'Azerbaïdjan.
© Sputnik . Asatur Yesayants
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Par ailleurs, avant le 15 novembre, l'Arménie devra restituer le district de Kelbadjar et avant le 1er décembre, le district de Latchin.
© Sputnik . Asatur Yesayants
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L'Arménie garde toutefois le couloir de Latchin, d'une largeur de 5 km, pour sa liaison avec le Haut-Karabakh.
Sur la photo: Contestataires dans le Parlement arménien à Erevan.
Sur la photo: Contestataires dans le Parlement arménien à Erevan.
© Sputnik . Aram Nersesyan
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L'Azerbaïdjan garde les positions qu'il avait occupées après les combats, dont la ville de Chouchi située à 10 kilomètres de la capitale du Haut-Karabakh.
© Sputnik . Iliya Pitalev
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Les forces armées arméniennes se retireront de la zone de conflit. Le long de la ligne de contact du Haut-Karabakh et le long du couloir de Latchin sera déployé un contingent de maintien de la paix de la Fédération de Russie.
© Sputnik . Aram Nersesyan
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La durée de la présence du contingent de maintien de la paix de la Fédération de Russie est de 5 ans, reconduits tacitement pour les prochaines périodes de 5 ans
© Sputnik . Ilya Pitalev
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Dans son allocution télévisée après la signature de l’accord, le Président azerbaïdjanais Ilkham Aliev l’a qualifié de maximalement avantageux pour le pays. Selon lui, l’accord met fin au conflit qui dure depuis des années. «De fait, c’est une reddition militaire de l’Arménie», a-t-il souligné.
© Sputnik . Asatur Yesayants
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Lors d’un direct sur sa page Facebook, Nikol Pachinian a à son tour déclaré qu’il avait signé l’accord car les Arméniens ont combattu à la fois les terroristes, l’Azerbaïdjan et l’armée d’un pays membre de l’OTAN, la Turquie.
© Sputnik . Ilya Pitalev
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Le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan se poursuit depuis une trentaine d’années. Bakou et Erevan ont à maintes reprises annoncé leur volonté de trouver un compromis. Cependant, un nombre d’antagonismes fondamentaux a bloqué cette recherche de consensus.
© Sputnik . Ilya Pitalev
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La communauté internationale juge les territoires litigieux comme appartenant à l’Azerbaïdjan et appelle à poursuivre les négociations en disant «non» à toute tentative de régler le conflit par la force.
© Sputnik . Asatur Yesayants
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Participante aux manifestations contre l’accord sur le Haut-Karabakh dans le Parlement arménien.
© Sputnik . Ilya Pitalev
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