Le Haut-Karabakh depuis la trêve fragile

Sputnik

Un panorama réalisé par Sputnik dévoile la situation autour du Haut-Karabakh après le cessez-le-feu.

 

1 / 14
Toute la semaine dernière, la situation dans le Haut-Karabakh a attiré l'attention des médias du monde entier. Les actualités provenant de cette région nous ont fait de plus en plus penser au fil des jours à des opérations de combat à grande échelle.
Sur la photo, une maison détruite par des bombardements à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh.

2 / 14
Deux semaines d'affrontements armés ont fait plusieurs dizaines de victimes parmi les civils dans chacune des parties en conflit. Les pertes parmi les militaires se comptent par centaines.
Sur la photo, un véhicule endommagé à Stepanakert.

3 / 14
Les ministres des Affaires étrangères d’Arménie et d’Azerbaïdjan sont arrivés à Moscou, le vendredi 9 octobre, pour des entretiens sous la médiation du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
Sur la photo, une maison en feu à Stepanakert.

4 / 14
Les négociations ont duré neuf heures. Suite à cela, les parties sont parvenues à un accord de cessez-le-feu et de trêve.
Sur la photo, un habitant de Stepanakert se cachant dans le sous-sol d'une maison pendant un bombardement.

5 / 14
Le 10 octobre, à partir de 12 heures, une trêve devait donc être observée dans le Haut-Karabakh. Mais seulement cinq minutes plus tard, elle a été brisée. La partie arménienne a accusé l'Azerbaïdjan d'attaquer la zone sud de la ligne de contact.
Sur la photo, la restauration des réseaux électriques endommagés par les bombardements à Stepanakert.

6 / 14
L'armée azerbaïdjanaise a qualifié ces rapports de mensonges et a accusé la partie arménienne d'avoir bombardé le village d'Agdam.
Sur la photo, une voiture endommagée par un bombardement à Stepanakert.

7 / 14
En conséquence, le jour de l'armistice, l'Arménie comme l'Azerbaïdjan ont fait état de morts et de blessés.
Sur la photo, un habitant de Stepanakert dans le sous-sol d'un immeuble pendant un bombardement.

8 / 14
Réparation des lignes d'alimentation électrique endommagées lors des bombardements à Stepanakert.

9 / 14
L'armée azerbaïdjanaise a perdu 350 militaires, deux véhicules blindés et trois drones au Karabakh.
Sur la photo, une maison détruite par des bombardements à Martakert, Haut-Karabakh.

10 / 14
Bakou rapporte que les pertes d'Erevan comprennent cinq chars T-72, six obusiers D-20 et D-30, huit systèmes de défense aérienne et une base radar.
Sur la photo, un obus non explosé dans une rue de la ville de Martouni, dans le Haut-Karabakh.

11 / 14
Le ministère arménien de la Défense a déclaré que les corps des victimes ne seront remis qu'en présence de la Croix-Rouge internationale afin d'éviter de nouvelles provocations de la part de l'ennemi.
Sur la photo, des chiens sur des ruines de maisons après le bombardement de Stepanakert.

12 / 14
Le Président azerbaïdjanais Ilham Aliev a déclaré que Bakou était prêt à entamer de nouvelles négociations avec Erevan et a proposé d'inclure la Turquie dans la liste des pays médiateurs pour le règlement du conflit.
Sur la photo, un représentant de médias près d'un magasin à Martakert, détruit par des bombardements.

13 / 14
Une nouvelle réunion tripartite des ministres des Affaires étrangères de l'Arménie, de l'Azerbaïdjan et de la Russie se tiendra lundi à Moscou, durant laquelle les parties continueront de discuter des problèmes liés à la résolution du conflit au Haut-Karabakh.
Sur la photo, un habitant près d'une église détruite par les bombardements dans la ville de Chouchi, dans le Haut-Karabakh.

14 / 14
De nouveaux combats dans le Haut-Karabakh ont commencé le 27 septembre. Bakou et Erevan, qui se disputent ce territoire depuis 30 ans, s'accusent mutuellement de provocations.
Sur la photo, un habitant dans une maison détruite dans la ville de Chouchi, dans le Haut-Karabakh.

Discuter