Anti-missile S-400: une épine dans le pied d’Israël, des États-Unis et de l’Otan

Le système antiaérien russe S-400 est à nouveau au centre de l’actualité internationale. Israël a fait part de son inquiétude à la Russie si cette dernière venait à vendre ce système ultrasophistiqué à l’Iran et les États-Unis pourraient sanctionner la Turquie qui entend pour sa part tester prochainement ses S-400 récemment acquis. Explications.
Sputnik

Le système de défense antiaérienne russe S-400 est l’objet de bien des discordes en ce début octobre. En effet, à la suite d’une déclaration de l’ambassadeur russe en Iran, affirmant que Moscou pourrait prochainement vendre ces systèmes à Téhéran, Benyamin Netanyahou, Premier ministre israélien, a exprimé ses craintes à Vladimir Poutine ce mercredi 7 octobre. De plus, la Turquie, qui a acheté il y a plus d’un an des batteries de S-400, pourrait les tester la semaine prochaine et risque ainsi de provoquer l’ire des États-Unis et de l’Otan. Plus d’informations dans ce nouveau Lignes Rouges en bref.

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