Retrouvez dans ce diaporama réalisé par Sputnik des photos du ciel bleu sur le fond duquel glissent des nuages d’une blancheur immaculée prises par des internautes.
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Ces derniers temps, de nombreux utilisateurs des réseaux sociaux commentent avec enthousiasme la bonne qualité de l’air dans les grandes villes.
Sur la photo: Islamabad les 3 août 2017 et 20 avril 2020.
Sur la photo: Islamabad les 3 août 2017 et 20 avril 2020.
© REUTERS / Faisal Mahmood/Saiyna Bashir
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À Jakarta, l'une des villes les plus densément peuplées de la planète, la pollution de l’atmosphère est une réalité quotienne. La capitale indonésienne est l’une des villes du monde où l’air est le moins respirable.
Sur la photo: partie nord de Jakarta les 26 juillet 2018 et 16 avril 2020.
Sur la photo: partie nord de Jakarta les 26 juillet 2018 et 16 avril 2020.
© REUTERS / Beawiharta / Willy Kurniawan
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Après l’instauration du confinement, la situation s’est soudain amériorée.
Sur la photo: Jakarta les 4 juillet 2019 et 16 avril 2020.
Sur la photo: Jakarta les 4 juillet 2019 et 16 avril 2020.
© REUTERS / Willy Kurniawan
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À Venise, l’eau et l’air sont devenus plus propres pendant la pandémie.
Sur la photo: le Grand canal de Venise les 6 janvier 2018 et 17 avril 2020.
Sur la photo: le Grand canal de Venise les 6 janvier 2018 et 17 avril 2020.
© REUTERS / Manuel Silvestri
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L’exemple de Milan confirme que le mème La Terre en voie de guérison devient réalité. Les experts se montrent néanmoins sceptiques: l’air dans les grandes villes n’est que temporairement moins pollué. Lorsque la propagation du Covid-19 aura été jugulée, les autorités penseront à relancer l’économie et non à préserver l’environnement.
Sur la photo: Milan et les Alpes Italiennes les 8 janvier et 17 avril 2020.
Sur la photo: Milan et les Alpes Italiennes les 8 janvier et 17 avril 2020.
© REUTERS / Flavio Lo Scalzo