Les tests sérologiques, dont la prochaine apparition vient d’être annoncée par Édouard Philippe, permettront de détecter la réponse de l’organisme via des anticorps fabriqués contre le virus qui l’a attaqué, explique le quotidien Les Échos.
Selon le Premier ministre, les tests sérologiques «seront prêts pour la sortie du confinement». Leur première utilisation devrait donc être le dépistage à grande échelle de la population après la levée de la quarantaine, indique le journal.
Les Échos soulignent également qu’en cas de dépistage massif, «il n’est en effet possible d’admettre qu’un faible taux de "faux négatifs"» pour éviter la répétition du scénario qui s’est joué récemment en Espagne, qui avait commandé à la société chinoise Bioeasy les tests qui ne permettaient de détecter que 30% des personnes infectées.