Touché par l’inscription sur le t-shirt d’une SDF, un policier partage un déjeuner avec elle – photo

«Être sans-abri est le moyen le plus rapide de devenir un moins que rien…» C’est cette inscription sur le t-shirt d’une sans-abri à la sortie d’un supermarché aux États-Unis qui a retenu l’attention d’un policier. Il a décidé de partager un déjeuner avec elle.
Sputnik

Touché par l’inscription présente sur le t-shirt d’une SDF à la sortie d’un supermarché en Caroline du Nord, un policier a choisi de partager un repas avec elle pour échanger. Une photo prise par un témoin a été partagée le 11 mars sur les réseaux sociaux.

«Je déjeunais lorsque j’ai vu le policier déjeuner avec cette dame. La police fait beaucoup pour notre communauté, et beaucoup de ces choses passent inaperçues. Mais sachez que l’on voit ce que vous faites, et on vous remercie pour votre bon travail», a déclaré la femme qui a assisté à la scène.

Interrogé par Yahoo Lifestyle, le policier a raconté qu’en sortant du parking du supermarché il a vu cette femme se tenir près d’un panneau « Stop », et que c’est l’inscription «Être sans-abri est le moyen le plus rapide de devenir un moins que rien…» sur son t-shirt qui a attiré son attention.

«Je détestais le fait qu’elle puisse de sentir comme une moins que rien», a-t-il expliqué.

Pas la première fois

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L’homme affirme toujours essayer de parler aux sans-abris pour essayer de comprendre comment ils en sont arrivés là. En effet, selon lui, ça peut arriver à tout le monde et à n’importe quel moment.

Puis il a proposé de partager sa pizza, une invitation que la dame a acceptée. Pendant le repas, elle lui a parlé de ses problèmes familiaux. Avant de partir, le policier lui a assuré qu’elle avait encore des choses à vivre, et qu’il n’était jamais trop tard.

«Traiter toute la communauté de façon humaine est la chose la plus important au monde. On n’est pas tous toujours responsable de la situation dans laquelle on se retrouve. Si, en tant qu’officier, on montre de l’amour et de la compassion aux gens, quels que soient l’âge, la situation financière ou la race, le monde serait bien meilleur», a confié l’homme.
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