Découvrez les clichés les plus impressionnants de cette compétition dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
1 / 15
Des équipes de différentes régions ont pris part à cette compétition. Les vainqueurs ont remporté une voiture VAZ-2109; l’équipe arrivée deuxième, un poulain; celle qui s’est classée troisième, de l’argent.
Sur la photo: une jeune cascadeuse lors d’une démonstration organisée à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
Sur la photo: une jeune cascadeuse lors d’une démonstration organisée à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 2 / 15
Participants à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 3 / 15
Le kok-boru (loup bleu en kirghiz) est un jeu équestre ancestral des peuples turcs.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 4 / 15
Les joueurs se disputent une carcasse de chèvre à qui l'on a coupé la tête. Il faut l’attraper le plus grand nombre de fois possible et la porter jusqu’au kazan, c’est-à-dire le but adverse. Dans des temps reculés, on jouait avec un loup vivant.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 5 / 15
Le kok-boru est un jeu rude. Les sportifs doivent être forts et habiles. Ils ont en moyenne une vingtaine d’années.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 6 / 15
Les compétitions de kok-boru se déroulent sur un terrain long de 200 mètres et large de 70. De 8 à 12 cavaliers participent au jeu. 4 de chaque équipe jouent simultanément. Une partie dure 60 minutes, elle se déroule en trois périodes de 20 minutes avec des intervalles de 10 minutes.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 7 / 15
Auparavant, les participants avaient le droit d’employer la force, de frapper leurs adversaires avec un fouet en cuir. Actuellement, cela est interdit dans les compétitions officielles. La violation des règles entraîne exclusion et disqualification.
Sur la photo: prestations des cavaliers lors d’une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
Sur la photo: prestations des cavaliers lors d’une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 8 / 15
Il est interdit, en outre, de cabrer son cheval, de saisir un adversaire par les bras ou la ceinture, de lui barrer la voie, de crier, de parler, etc.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 9 / 15
Participant à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 10 / 15
Le kok-boru est enseigné dans les écoles sportives de plusieurs pays d’Asie centrale où se déroulent les compétitions.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 11 / 15
Compétitions de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 12 / 15
Démonstration lors d’une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 13 / 15
Plusieurs règles du kok-boru tel qu’il est pratiqué aujourd’hui sont empruntées au hockey: les bords arrondis du terrain, le temps de jeu, la durée des pénalités, etc.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 14 / 15
Une jeune cascadeuse lors d’une démonstration organisée à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/ 15 / 15
Ces derniers temps, il y a eu des tentatives pour remplacer la carcasse de chèvre par une carcasse artificielle mais cette idée a été abandonnée parce qu’elle ne s’inscrit pas dans les traditions ancestrales.
Sur la photo: participants à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
Sur la photo: participants à une compétition de kok-boru au Kirghizistan.
© Sputnik . Tabyldy Kadyrbekov
/