La base américaine Ain al-Asad en Irak après son pilonnage par des missiles iraniens

Sputnik

Découvrez dans ce diaporama réalisé par Sputnik des photos de la base Ain al-Asad après son pilonnage par le Corps des gardiens de la révolution islamique.

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Dans la nuit du 7 au 8 janvier, l’Iran a lancé des missiles sur une base aérienne en Irak où étaient déployés des soldats des États-Unis et d’autres pays de l’Otan.
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Selon des médias américains, le commandement des forces américaines stationnées en Irak a été averti deux heures et demie avant le début de l’attaque iranienne. Il ignorait toutefois quelle forme elle prendrait.
Sur la photo: soldats américains sur la base aérienne d’Ain al-Asad visée par missiles tirés de l’Iran.
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Dans une interview à l’agence Reuters, des soldats américains ont évoqué les événements qui s’étaient produits sur la base en Irak dans la nuit du 7 au 8 janvier. Ils prétendent avoir vu dans le ciel une lumière vive pareille à celle d’une étoile filante.
Sur la photo: la base aérienne américaine d’Ain al-Asad en Irak après l’attaque iranienne.
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La base d’Ain al-Asad a été pilonnée par des missiles balistiques pendant deux heures.
Sur la photo: soldats américains s’affairant sur la base aérienne d’Ain al-Asad attaquée par l’Iran.
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Le commandement américain ayant été averti d’une opération armée en préparation, une partie des soldats a été évacuée de la zone à risque. Les autres se sont réfugiés dans un bunker où ils ont passé cinq heures. Selon les Américains, c’est tout de même un miracle qu’il n’y ait pas eu de victimes.
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Les missiles iraniens ont frappé l’aéroport et le parking de la base d’Ain al-Asad.
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Un missile a explosé à 300 mètres du bunker où les soldats avaient trouvé refuge.
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Des témoins se souviennent que le missile a facilement détruit les murs en béton. Selon eux, la moitié des hélicoptères ont été endommagés dans l’explosion qui a creusé des cratères suffisamment grands pour y placer un fourgon.
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D’abord gagnés par la panique, les soldats ont su retrouver la maîtrise d’eux-mêmes et ont agi selon les instructions.
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À part des soldats irakiens et américains, il y avait sur la base d’Ain al-Asad des militaires de plusieurs pays de l’Otan qui servent en Irak en tant que conseillers. Ils ont été pris en charge au Koweït par des psychologues.
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