Elle ressent les méfaits du véganisme et se lance dans un régime carnivore - photos

Une consultante en nutrition qui prétend que son régime végan l'avait rendue trop faible pour tenir ne serait-ce qu’un verre d'eau, se réjouit d’être passée à un régime à base d’abats, comprenant par exemple de la tête et du cerveau de moutons, et dit ne s’être jamais sentie mieux.
Sputnik

Une nutritionniste âgée de 38 ans qui a abandonné son mode de vie végan pour un régime chargé en abats, avec des plats comprenant des cervelles d'animaux, dit ne s’être jamais sentie aussi bien.

«Un filet mignon avec un jaune d'oeuf et quelques grosses cuillères à soupe de suif. La restauration rapide la plus rapide.»

Régime paléo-cétogène

Natalie a suivi un régime essentiellement végétarien pendant 12 ans et a été végane pendant trois ans, mais en 2015, elle a décidé de réintroduire des aliments d'origine animale dans son régime. Quand elle a décidé de recommencer à manger de la viande, elle s’est sentie mieux.

«Un steak argentin et un énorme os à moelle au beurre, le tout saupoudré de flocons de sel de Maldon»

En janvier 2018, elle a découvert le régime carnivore et a adopté le régime paléo-cétogène (un régime thérapeutique expérimental mis au point par des chercheurs hongrois pour traiter des maladies auto-immunes, des cancers et d'autres pathologies), un type de régime à base de viande la faisant manger uniquement des aliments d'origine animale à un rapport lipides/protéines de 2:1.

«Oeufs brouillés crémeux, pâté de foie, du lard fumé rôti, fromage de tête et saucisse.»

Elle mange maintenant une large gamme de produits d'origine animale à base de foie, de cerveau, mais aussi des steaks de faux-filet, de l'agneau cru, des côtes de porc et des bouillons préparés à partir de morceaux d'animaux, y compris de têtes.

En un an, tous ses symptômes ont été atténués, affirme la femme.

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