Le 20 novembre au matin, l'armée israélienne a revendiqué des frappes de «grande ampleur» contre des positions syriennes et les forces iraniennes Al-Qods, en Syrie, pays allié de l'Iran, ennemi d'Israël.
«Les avions de combat de l'armée israélienne ont frappé une dizaine de cibles militaires des forces iraniennes Al-Qods et des forces armées syriennes, incluant des missiles sol-air, des quartiers généraux, des entrepôts et des bases militaires», a précisé l'armée dans un communiqué.
Les militaires israéliens, qui revendiquent rarement des attaques en sol syrien, ont indiqué qu'un «missile antiaérien syrien avait été tiré malgré des avertissements clairs de ne pas le faire».
Deux personnes ont été blessées dans les raids israéliens, a rapporté l'agence SANA.
L'armée israélienne n'a pas indiqué si ce tir avait causé des pertes, mais a dit tenir le pouvoir à Damas «responsable» des actions sur son sol, précise l'AFP.
Mardi, le système de défense antimissile israélien avait intercepté quatre roquettes tirées en direction du nord d'Israël, selon l'armée.