Des scientifiques de l'Université Aristote en Grèce avancent que la mort d'Alexandre le Grand résulte d’une nécrose pancréatique, et non du paludisme, d’une fièvre typhoïde ou d’une pneumonie, comme supposé par le passé, indique l'agence de presse Greek Reporter.
Au cours de leur étude qui a débuté en 1995, des experts ont soigneusement analysé les symptômes de la maladie et les derniers jours de la vie du roi décrits par des historiens.
Les premiers symptômes sont de fortes douleurs abdominales, de la fièvre et une dégradation progressive et quotidienne de l’état de santé du patient sur 14 jours, précise l'étude.
Enfin, après avoir analysé les textes d'historiens de l’époque, Gerasimidis rejette les autres versions sur la mort d'Alexandre le Grand, notamment celles pointant une pneumonie, le paludisme, une fièvre typhoïde et une fièvre de West Nile.