Il existe de nombreuses activités proposées à bord des navires qui conviendront à tous les âges et à tous les intérêts. Toutefois, certains touristes se permettent de transgresser le règlement pour profiter de leur bien-être… jusqu’à se voir interdire de croisière à vie! Mais qu’ont-ils fait?
Elle risque sa vie pour un joli cliché
Dans le monde contemporain, un beau selfie vaut-il de risquer sa vie? Récemment, une femme a été expulsée et bannie à vie de croisière après s’être mise en danger en grimpant sur la balustrade du balcon de sa chambre pour se prendre en photo.
La scène a été immortalisée par un passager du bateau Allure of the Seas de la compagnie Royal Caribbean. Ayant vu une femme sur la rambarde et ne sachant pas ses intentions, il a prévenu l’équipage. La photo qu’il a prise, diffusée sur les réseaux sociaux, montre une femme en maillot de bain face à l'océan, les bras écartés et posant pour un selfie.
Il saute du 11e étage d’un bateau de croisière
Début janvier 2019, la vidéo d’un passager sautant du balcon d’un navire de croisière de Royal Caribbean International est devenue virale.
Un Américain naviguait à bord du Symphony of the Seas lorsqu’il a décidé de sauter du 11ème étage de l'immense navire pour faire rire ses amis... La compagnie de croisière, elle, n’a pas trouvé l’incident drôle et une surprise de taille a attendu le jeune homme à l’escale suivante, à savoir des agents de sécurité et la police de Nassau qui les ont expulsés et bannis à vie de faire des croisières.
Interdits de croisière pour… un surplus de plaintes
Un couple d’Américains fan de croisière faisait en moyenne deux voyages par an sur les bateaux de la compagnie Royal Caribbean et avait même acheté des actions de cette entreprise. Toutefois, ils rencontraient régulièrement des petits problèmes lors de leurs voyages, comme des dysfonctionnements de la plomberie, et ils les détaillaient toujours à la compagnie qui devait alors résoudre les problèmes et proposer des réductions.
Jusqu’à ce que Royal Caribbean décide de ne plus avoir affaire à eux. En 2008, celle-ci a soudainement informé le couple qu’il n’était plus le bienvenu sur ses navires, selon Expert Cruiser.
Bannis à vie pour être restés coincés dans un ascenseur
Dans un post Facebook datant d’avril 2019, un homme a affirmé que ses amis et lui étaient à jamais interdits de croisière sur les navires de Carnival Cruise Lines après qu’ils se sont retrouvés coincés dans un ascenseur. Toutefois, la compagnie a déclaré qu’il existait deux versions de l’histoire.
La compagnie a toutefois partagé une version différente des événements, selon Fox News.
«Chaque histoire a toujours deux aspects. Nous avons eu un groupe d'invités coincés dans l'un de nos ascenseurs la semaine dernière pendant environ 30-40 minutes. Notre équipe à bord a été appelée pour fournir une assistance. Malheureusement, les réparations ont pris plus de temps que prévu en raison des dégâts considérables causés aux portes de l'ascenseur et au câblage, les travaux ont pris plus de temps que ce qui était attendu», a indiqué un communiqué de la compagnie qui a banni ces passagers à vie à cause des dommages infligés à l’ascenseur.
Toute une famille bannie en raison… d’un placard endommagé
Carnival Cruise Lines a également banni à vie une famille après qu’elle a refusé d’assumer la responsabilité des dommages causés à un placard, raconte un internaute sur Squaremouth.
Les faits ont eu lieu en août 2009. Selon les dires du père, le placard était dans cet état au moment de leur embarquement. La famille, y compris un enfant de 4 ans, a été détenue pendant deux heures après que les autres passagers ont débarqué.
«Le personnel ne nous a proposé que deux options, soit nous acceptions la responsabilité des dégâts, soit nous étions bannis à vie. Ma femme a visité la cabine pour parler avec le nettoyeur qui a porté l'accusation. Il avait remarqué une bouteille vide de Bud Light et nous a ensuite accusé d'utiliser le bord du placard pour ouvrir les canettes», a-t-il raconté.
D’après lui, la compagnie n’a pas été convaincue, même par une photo prise le premier jour du voyage et montrant le placard endommagé. La famille a été forcée de signer un document qui «ne reflétait en rien la situation.»