Des chercheurs ont désigné les endroits où il serait possible de survivre à l’apocalypse provoquée par une pandémie mondiale, indique une étude publiée dans la revue Risk Analysis.
Selon des chercheurs de l’université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, les nouvelles découvertes en matière de biotechnologie peuvent mener à une pandémie extrêmement dangereuse pour l’ensemble de l’humanité.
Si ce scénario catastrophe se réalise, certains États insulaires pourraient cependant servir de refuges aptes à sauver l’humanité de l’extinction.
Une vingtaine de «refuges»
Les chercheurs ont dressé un classement d’une vingtaine de zones géographiques qui ne seraient pas touchées par la pandémie. Il s’agit ainsi d’îles autosuffisantes et suffisamment grandes pour contenir un grand nombre de personnes ainsi que des technologies avancées pour être à même de repeupler la Terre par la suite.
Dans le top-5 de ces refuges se trouvent l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Islande, Malte et le Japon.