Dans un entretien à l'hebdomadaire Time, Emmanuel Macron, interrogé sur la crise sociale qui a ébranlé sa présidence, a souligné: «d'une certaine façon, les Gilets jaunes ont été très bons pour moi [...] parce que cela m'a rappelé comment je devais être».
«J'ai probablement donné l'impression que je voulais réformer contre le peuple. Et parfois mon impatience a été ressentie comme une impatience vis-à-vis des Français. Ce n'est pas le cas», ajoute Emmanuel Macron, qui a placé «l'Acte II» de son quinquennat sous les mots d'ordre d'«écoute» et de «proximité».
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