Suicide d’ambulancier, spéculation sur un état «conscient»: l’hospitalisation mouvementée de Schumacher

Les rebondissements liés à des soignants depuis le transfert à l’hôpital de Lausanne en 2014 de Michael Schumacher continuent. Alors que le suspect du vol du dossier du pilote avait été retrouvé pendu dans sa cellule en août 2014, une infirmière citée par Le Parisien aurait dit que la star était consciente. La famille ne s’est pas exprimée.
Sputnik

L'état de santé de Michael Schumacher, victime d’un tragique accident en 2013, reste toujours un mystère. D’autant que les spéculations se renforcent depuis un article du Parisien du 10 septembre dans lequel une aide-soignante aurait déclaré que le pilote de course était dans un état conscient.

Son hospitalisation avait déjà été très médiatisée suite au suicide d’un ambulancier qui avait volé le dossier médical du pilote pour le revendre à la presse en juin 2014 à Lausanne. Ce document avait alors été proposé à la vente à des médias français, allemands et britanniques pour une somme équivalant à 50.000 euros.

Silence de la famille

Pris en charge par les médecins tout de suite après son accident de ski, en 2013 à Méribel, Michael Schumacher serait toujours dans un état grave.

Sa famille garde le plus grand secret sur son état de santé et sa convalescence. Elle s’est refusée à commenter les spéculations.

La dernière en date a été publiée dans Le Parisien. 

«Mais oui, il est dans mon service. Et je peux t'assurer qu'il est conscient», a raconté, selon le journal, à une collègue une jeune femme en poste en cardiologie.

Michael Schumacher aurait été transporté à Paris pour un traitement secret
Le Parisien avait déjà révélé lundi 9 septembre que le septuple champion du monde de Formule 1 avait été admis le 9 septembre à l’hôpital européen Georges-Pompidou à Paris où un important dispositif de sécurité avait été déployé pour l’occasion.

En janvier dernier, à la veille du 50e anniversaire du pilote, son épouse avait publié un communiqué affirmant que la famille faisait «tout possible au niveau humain pour l’aider» et qu’elle respectait «les souhaits de Michael en gardant privé […] le sujet très sensible qu'est sa santé».

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