Un cas d’infection virale probablement rapportée d’Afrique et très dangereuse diagnostiquée en France

Admis à l’hôpital Samuel-Pozzi de Bergerac entre le 14 et le 19 juin, un patient s’est avéré contaminé par la dengue, rapporte la presse française. Une opération de démoustication du quartier de l’hôpital aura donc lieu le 2 juillet.
Sputnik

Une personne qui aurait été contaminée par la dengue, lors de son séjour en Afrique, se trouvait à l’hôpital Samuel-Pozzi de Bergerac entre le 14 et le 19 juin, relatent des médias français. Le 2 juillet, une équipe de l’Entente interdépartementale de démoustication du littoral méditerranéen (EID-Med) y interviendra pour attester de la présence du moustique tigre, vecteur potentiel du virus, selon un communiqué de l’Agence régionale de santé, du préfet et du département de la Dordogne, auquel se réfère des médias.

Des chercheurs auraient découvert les premiers signes d’une maladie incurable
«L’objectif étant d’éliminer les moustiques présents dans les lieux fréquentés par le cas de dengue, afin d’éviter tout risque de propagation du virus dans l’hypothèse où ils auraient été contaminés en piquant cette personne», lit-on.

D’après le communiqué, l’insecticide sera pulvérisé au passage d’un véhicule ainsi qu’à pied et à l’aide d’appareils portatifs, sur le boulevard Albert-Calmette à hauteur de l’hôpital et dans les rues Joachim-du-Bellay et Ambroise-Paré.

«La deltaméthrine utilisée lors de ces traitements est pulvérisée à un gramme par hectare, soit un dosage très faible. Ce traitement, qui s’applique dans un espace très limité, est une intervention parfaitement maîtrisée et qui ne revêt pas de danger particulier, sous réserve du respect des consignes transmises et distribuées aux habitants qui résident dans le secteur concerné», est-il également précisé.

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