Le «grimpeur» de la tour Eiffel serait un demandeur d’asile russe à tendance suicidaire

Le visiteur qui a escaladé le 20 mai la tour Eiffel, provoquant son évacuation et y restant accroché jusqu’à la tombée de la nuit, serait un demandeur d’asile russe souffrant de tendances suicidaires. Il devra prochainement comparaître devant la justice.
Sputnik

L’homme qui a grimpé lundi sur la tour Eiffel pour y rester agrippé pendant près de six heures, provoquant son évacuation, est un demandeur d’asile russe, informe BFM TV, se référant à une source proche de l’enquête.

Qui plus est, l’individu souffrirait de tendances suicidaires.

Après plus de quatre heures sur la tour Eiffel, le «grimpeur» s’est rendu (images)
Survenu lundi, l’incident a débouché sur l’ouverture d’une enquête portant sur l’intrusion dans une enceinte culturelle. Le «grimpeur» n’a pas été placé en garde à vue, l’infraction qu’il a commise étant punie d’une contravention, mais sera prochainement convoqué devant la justice.

Dans l’après-midi de lundi, un visiteur a escaladé le monument payant le plus visité au monde, pour y rester agrippé au niveau du troisième étage jusqu’à la tombée de la nuit. Selon les informations non officielles, il aurait menacé de se jeter du haut du monument. Au bout de six heures, il s’est finalement rendu.

Cet incident a provoqué la fermeture et l’évacuation de quelque 2.500 visiteurs du monument, selon la Société d’exploitation de la tour Eiffel.

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