Sept soldats du feu sont désormais placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête ouverte samedi sur un présumé viol en réunion dans une caserne de pompiers, après une première série d'interpellations débutée le 4 mai, relate Le Parisien.
Après l'agression, elle se serait enfermée dans les toilettes, où une amie l'aurait retrouvée «en état de choc» au matin.
Selon le porte-parole des sapeurs-pompiers de Paris, les trois hommes initialement interpellés devraient être suspendus à l'issue de leur garde à vue «pour faciliter l'enquête de commandement, déjà diligentée», selon le quotidien francilien. «Ces agissements ne sauraient être tolérés. Ils sont contraires aux valeurs défendues par les sapeurs-pompiers de Paris», avait précisé le lieutenant-colonel.