«Il faut éviter des perturbations inutiles et assurer le développement sain et progressif des relations bilatérales», a souligné le chef de la diplomatie chinoise.
Ces déclarations interviennent après l’interception début avril par la marine chinoise de la frégate française Vendémiaire dans le détroit qui sépare la Chine continentale de l’île de Taïwan, considérée par Pékin comme une partie de son territoire.
Suite à l’incident, un membre de l’entourage de la ministre des Armées Florence Parly a déclaré à l’AFP que la France «réaffirmait son attachement à la liberté de navigation, conformément au droit de la mer». Or, pour le porte-parole du ministère chinois de la Défense Ren Guoqiang, le navire français a pénétré dans «les eaux territoriales chinoises» sans autorisation.