«Le mouvement s'est profondément transformé. Il est en train de dériver. On voit la violence, de semaine en semaine, qui se radicalise, qui est contre les institutions de la République, l'Assemblée nationale, les ministères, les élus, [avec] des propos antisémites régulièrement", a regretté Agnès Buzyn sur LCI.
La violence et l'antisémitisme sont «au cœur» du mouvement, a estimé à son tour l'écrivain Bernard-Henri Lévy en dénonçant trop de «mais» dans les condamnations des insultes antisémites contre le philosophe Alain Finkielkraut.