Une fois sur place, les policiers ont dû se frayer un passage parmi les badauds rassemblés pour assister à ce «spectacle» illégal.
À leur grand étonnement, les forces de l'ordre ont constaté que cet adepte du gymkhana utilisait un engin de chantier, en l'occurrence un transpalette électrique pour impressionner les «spectateurs».
La police a par la suite appris que l'engin provenait d'un chantier tout proche et qu'il n'avait pas été dérobé par le mis en cause.
Le pilote, qui était alors passablement alcoolisé, a été interpellé et placé en garde à vue.