Découvrez les animaux sauvages habitant dans la zone d’exclusion de Tchernobyl dans ce diaporama réalisé par Sputnik.
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Le Dr James Beasley de l’Université de l’État de Géorgie et ses collègues ont observé les animaux à l’aide de pièges photographiques qu’ils installaient au bord de la rivière Pripiat et des canaux d’irrigation. Ils laissaient du poisson à proximité. Différents animaux l’ont presque entièrement mangé au cours d’une semaine.
Sur la photo: loutre commune dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
Sur la photo: loutre commune dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© Photo University of Georgia/Peter E.Schlichting at all.
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Chevaux sauvages dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© AP Photo / Sergiy Gaschak
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La caméra a enregistré, à l’issue de 83 tests, le passage de 10 espèces de mammifères et de 5 espèces d’oiseaux, parmi lesquels: souris des champs, mulot à collier, souris des moissons, geai, pie, chiens viverrins, martre du Canada, loutre, loups, corbeau et aigle pygargue.
© AP Photo / Sergiy Gaschak
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Un aigle pygargue, une martre du Canada et une loutre commune ont été filmés pour la première fois par les scientifiques dans la réserve d’État écologique de Polesie.
© AP Photo / Sergiy Gaschak
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Des lynx dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© AP Photo / Sergiy Gaschak
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Les études de la biodiversité de la zone de Tchernobyl ont été entamées en 2015. Les scientifiques ont même réussi à y photographier un ours et un bison. La population de loups dans la zone d’exclusion a augmenté à tel point qu’ils ont commencé à migrer vers la Russie.
© AP Photo / Sergiy Gaschak
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Les scientifiques n’excluent pas que les populations de la zone d’exclusion deviennent une source d’enrichissement d’autres populations européennes.
© Photo University of Georgia/Peter E.Schlichting at all.
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Dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© AP Photo / Efrem Lukatsky
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Un chien viverrin dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© Photo University of Georgia/Peter E.Schlichting at all.
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Des animaux de la zone d’exclusion peuvent habiter sur les territoires voisins et se croiser avec d’autres au-delà de la zone.
Sur la photo: un geai eurasien dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
Sur la photo: un geai eurasien dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© Photo University of Georgia/Peter E.Schlichting at all.
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Les scientifiques envisagent la possibilité de mutations des populations n’ayant pas ressenti les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl.
Sur la photo: des chevaux sauvages dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
Sur la photo: des chevaux sauvages dans la zone d’exclusion de la centrale de Tchernobyl.
© AFP 2024 Sergei Supinsky
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La zone d’exclusion de Tchernobyl est depuis longtemps une réserve. Les habitants en ont été évacués depuis plus de 30 ans et les plantes et les animaux sauvages se sentent à l’aise en l’absence de l’homme.
© AP Photo / Sergiy Gaschak