Donald Trump s'est rendu mercredi en Irak, pour une visite surprise de quelques heures, à la rencontre de soldats américains, et a profité de ce premier déplacement en zone de conflit depuis son élection il y a deux ans pour justifier sa décision de retirer les troupes américaines de Syrie.
«Les États-Unis ne peuvent pas continuer à être le gendarme du monde. C'est injuste quand le fardeau est entièrement sur nous», a-t-il déclaré sur la base aérienne d'Al-Assad, à environ 160 kilomètres à l'ouest de Bagdad, où il a atterri en compagnie notamment de son épouse Melania.